(Minghui.org)J’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en mars 1999. J’aimerais partager certaines de mes expériences de cultivation et de mes connaissances. Veuillez me signaler tout ce qui n’est pas conforme au Fa.

Sauver ma sœur pratiquante

Un jour de 2011, je suis allée voir ma mère. Lorsque je suis arrivée chez elle, elle m’a dit que ma sœur aînée avait été arrêtée et qu’elle était détenue au poste de police. Je suis devenue anxieuse et triste. C’était la quatrième fois qu’elle était détenue. Je suis allée immédiatement au poste de police et je l’ai vue dans la salle. J’ai demandé qu’elle soit libérée immédiatement. J’ai demandé à un policier pourquoi elle avait été arrêtée et quelle loi elle avait enfreinte. Ils m’ont répondu qu’ils la détenaient au nom de la Division de la sécurité nationale et qu’ils n’avaient pas le droit de la relâcher.

J’ai vu ma sœur qui écrivait une lettre pour leur expliquer la vérité. Je l’ai rejointe et j’ai parlé du Falun Dafa aux policiers présents. Ils m’ont écouté sans dire un mot. Au bout d’un moment, le directeur du poste de police a dit que s’ils continuaient à m’écouter, ils changeraient d’avis et soutiendraient le Falun Dafa. J’ai continué à parler. Vers 18 heures, une dizaine de policiers sont entrés. Le directeur m’a demandé de partir, mais j’ai refusé. Il a alors demandé à un agent de me faire sortir de force.

Le lendemain, je suis retournée au poste de police. L’agent de service m’a dit que ma sœur avait été transférée dans un autre Département de police pendant la nuit. Je me suis rendue à ce Département de police et, à mon arrivée, on m’a dit que ma sœur n’y était pas. Ils pensaient qu’elle était à la Division de la sécurité nationale, alors je m’y suis rendue. Le policier avait l’air effrayant et ne m’a pas permis de voir ma sœur. Le directeur de la Division de la sécurité nationale a dit que ma sœur avait crié « Falun Dafa est bon, Authenticité-Compassion-Tolérance est bon » et qu’elle était contre le Parti communiste chinois (PCC). Il nous a forcés de partir.

Le troisième jour, ma sœur a été envoyée au centre de lavage de cerveau de la capitale provinciale. Le centre était situé dans une zone isolée, sans aucune enseigne. Il n’apparaissait pas non plus sur le GPS. Après de nombreux tours et détours, j’ai fini par le trouver. On m’a conduit dans une salle de réunion. Deux personnes chargées du lavage de cerveau des pratiquants m’ont demandé méchamment si je pratiquais le Falun Dafa et pourquoi j’étais venue. Je n’ai pas répondu à leur première question. Je leur ai demandé où se trouvait ma sœur, quelles lois elle avait violées et s’ils avaient des preuves.

Ils ont dit que ma sœur n’y était que pour « étudier ». Je leur ai dit qu’il s’agissait d’une persécution et d’un acte criminel s’ils la gardaient là sans raison. J’ai exigé que ma sœur soit libérée immédiatement. Je leur ai parlé du Falun Dafa, mais ils n’ont pas écouté et se sont mis en colère. Ils m’ont menacé de me garder pour « étudier ».

J’ai appris plus tard qu’ils voulaient que je persuade ma sœur de signer une déclaration de garantie promettant de renoncer à la cultivation. Ils ont été déçus de mon refus.

Ils ne m’ont pas laissé entrer la deuxième fois que j’y suis allée. Ils m’ont dit que je devais fournir une autorisation de la Division de la sécurité nationale locale. Je me suis rendue plusieurs fois à la Division de la sécurité nationale locale, mais je n’ai pas obtenu l’autorisation. Je me suis alors rendue au domicile d’un employé de la Division de la sécurité nationale. Je lui ai clarifié la vérité, ainsi qu’à sa femme. Je lui ai dit de ne pas commettre de crimes contre le Falun Dafa. Sa femme s’est mise en colère contre lui parce qu’elle lui avait demandé de ne pas s’impliquer dans la persécution des pratiquants, mais il ne l’a pas écoutée. Elle avait l’air effrayé et m’a demandé comment j’avais trouvé leur adresse.

J’ai envoyé des lettres de clarification de la vérité au directeur du Bureau 610 et je me suis rendue plusieurs fois au centre de lavage de cerveau. Ils n’ont pas réussi à transformer ma sœur et elle a été libérée sans condition.

Au cours du processus de sauvetage de ma sœur, les fonctionnaires du PCC ont appris que j’étais une pratiquante de Falun Dafa et m’ont surveillée. Je n’ai pas été émue et j’ai continué à sauver des êtres de manière rationnelle. J’ai le Falun Dafa avec moi et le Maître (le fondateur du Dafa) s’occupe de moi. J’émettais la pensée droite lorsque j’étais à l’extérieur et je récitais Lunyu et des poèmes de Hong Yin. J’étais remplie d’énergie positive. Le PCC ne pouvait rien me faire.

Un jour, les fonctionnaires du PCC ont essayé de m’arrêter. Ils ont demandé au gardien en service dans mon quartier résidentiel de m’arrêter, mais il n’a pas suivi leurs ordres. J’ai garé ma voiture dans le parking et j’ai trouvé huit personnes qui m’attendaient devant l’ascenseur. J’ai reconnu que deux d’entre elles venaient du centre communautaire local. Je ne suis pas montée à l’étage. J’ai préféré aller voir ma mère qui habitait tout près. Tous les quinze mètres environ, une personne était en service et me regardait fixement. J’ai demandé de l’aide au Maître. Je me disais que ces personnes ne devraient pas pouvoir bouger. Il semblait qu’elles ne pouvaient pas bouger. Je suis restée chez ma mère jusqu’à une heure très tardive.

Clarifier la vérité aux gens

Grâce à la protection du Maître, j’ai pu suivre mon chemin de cultivation sans problème au cours des deux dernières décennies. Je suis très reconnaissante envers le Maître pour son salut compatissant.

Clarifier la vérité et sauver les êtres, voilà ce que je veux faire. Je n’ai pas l’impression d’avoir vécu une journée en vain si j’ai sauvé ne serait-ce qu’une seule personne. Un jour, ma fille m’a demandé combien de personnes s’étaient retirées du PCC et de ses organisations affiliées. Je lui ai donné le nombre et elle m’a dit que c’était trop peu, et elle a exhorté les pratiquants de Dafa à sauver plus de personnes. Elle n’est pas pratiquante, mais elle sait que le Falun Dafa est bon et me soutient. J’ai réalisé que le Maître s’était servi d’elle pour me donner une indication. Si chaque pratiquant pouvait sauver au moins une personne par jour, le PCC se serait effondré il y a longtemps, et tant de gens n’auraient pas été éliminés au cours de la pandémie, des maladies, des accidents et d’autres catastrophes.

J’ai réalisé que le processus de clarification de la vérité était aussi un processus de cultivation de mon xinxing. Au début, je n’ai pas bien clarifié la vérité. Les gens s’enfuyaient à cause de mes mots durs. Certains me répondaient avec acharnement, d’autres m’ignoraient. Je n’étais pas en mesure de répondre à leurs questions. Certains menaçaient de me signaler à la police.

Le Maître a débloqué ma sagesse au cours du processus. Grâce au pouvoir du Fa et à l’aide des pratiquants, j’ai pu faire une percée dans la clarification de la vérité. Je suis maintenant capable de parler aux gens en fonction de leurs attachements et de leur compréhension, et de les persuader de se retirer du PCC en peu de temps.

Chers compagnons de cultivation, cultivons avec diligence, laissons tomber les attachements et les conceptions humaines pour aider à sauver davantage d’êtres, et suivons le Maître pour retourner à la maison ensemble.

Traduit de l’anglais