Narré par une pratiquante de Falun Gong dans la province du Liaoning, Chine (transcrit par un autre pratiquant)

(Minghui.org) J’ai 81 ans. Je pratique le Falun Gong depuis plus de vingt ans. Grâce à la pratique, ma tuberculose a été guérie et je ne vomis plus de sang. Je suis devenue une personne saine et heureuse.

Même si j’étais illettrée, j’ai acquis la sagesse de Dafa et je peux maintenant lire tous les livres de Dafa. Je lis le Zhuan Falun chaque matin. Je sors l’après-midi pour parler aux gens de Dafa ou distribuer des documents de Dafa. Ensuite, j’écoute deux leçons des conférences du Maître. Je vais au groupe d’étude du Fa le soir et j’écoute la Radio Minghui ou d’autres enregistrements audio de clarification de la vérité ensuite.

À travers la cultivation, je me suis éveillée au fait que pour un pratiquant, la cultivation est au-dessus de toute autre chose. Comme la cultivation est quelque chose qui sort de l’ordinaire, cela requiert que nous gardions notre esprit droit tout le temps. Je porte toujours attention à mes paroles et actions. Quand je fais quelque chose de mal, je le reconnais envers le Maître et je le corrige sans délai. Quand un attachement émerge, je le partage avec d’autres pratiquants et je l’abandonne immédiatement.

J’essaie toujours de me conduire selon les attentes du Maître en regardant à l’intérieur lors de tribulations. Si j’ai de mauvaises pensées en lisant le Fa, je me lève immédiatement et je me dis haut et fort : « Ces pensées ne sont pas miennes. Je suis une disciple de Dafa. Je ne reconnais que les arrangements du Maître. »

Quand je parle aux gens de Dafa, je ne me sens pas effrayée ou distraite. Si les gens refusent d’écouter, je m’examine d’abord pour trouver mes lacunes et j’élimine ensuite l’interférence.

J’aimerais partager quelques-unes de mes expériences ici.

Parler aux gens de Dafa

Je sors pour parler aux gens de Dafa et distribuer des documents depuis plus de dix ans. Chaque fois, avant de quitter la maison, je m’arrête devant le portrait du Maître et je demande au Maître d’aider les gens à accepter la vérité. Je me dis aussi en moi-même que je suis sur le point de sauver les gens et que je fais ce que le Maître me dit de faire. Ceci m’aide à penser au Maître chaque fois que je rencontre des problèmes.

J’aime sortir avec d’autres pratiquants. Certains de nos pratiquants locaux avaient peur de parler aux gens, mais je les ai encouragés à sortir avec moi quand même. Ils m’ont suivie et ont porté les documents pour moi. Peu après, ils ont eu assez de courage et d’expérience pour le faire par eux-mêmes.

En 2016, j’ai fait équipe avec une autre pratiquante. J’étais vraiment contente qu’elle puisse m’aider à enregistrer les noms de ceux qui acceptaient de démissionner du PCC et de ses organisations affiliées. Nous avons distribué ouvertement des exemplaires des Neuf commentaires sur le Parti communiste et avons parlé aux gens. L’effet était bon dans l’ensemble.

Une fois, alors que les gens étaient réticents à accepter les documents, j’ai regardé à l’intérieur. Le Maître m’a éclairée immédiatement : je devais utiliser un nouvel angle. Une fois que j’ai commencé à leur parler sous ce nouvel angle, ils ont tous pris les documents.

En 2017, j’ai travaillé avec un pratiquant retraité. Il conduisait son vélo électrique et apportait beaucoup de documents avec lui. Il pouvait aller dans des endroits éloignés. Un jour, nous sommes allés à un marché matinal et avons trouvé en endroit achalandé pour distribuer les documents. J’ai émis la pensée droite pour éliminer les interférences. Les gens ont aimé nos documents et nous les avons tous donnés en deux heures.

Lorsqu’il restait des documents à certains pratiquants, j’étais toujours heureuse de les prendre et de les distribuer aux gens. Tous les pratiquants de Dafa sont une partie d’un même corps. Nous devons nous aider et coopérer les uns avec les autres.

Sauver les gens impliqués dans la persécution

Mon fils pratique aussi le Falun Gong. Une fois, des agents de son travail l’ont envoyé dans un centre de lavage de cerveau pour le forcer à renoncer au Falun Gong. Je suis allée à son travail pour clarifier la vérité aux gens impliqués ; ils savaient tous que mon fils était un excellent employé. Je leur ai dit comment il avait cessé de fumer et boire, et était devenu une meilleure personne après avoir débuté la pratique. Je leur ai demandé de ne pas persécuter une bonne personne.

Il y a quelques mois, deux agents de police sont venus chez moi pour voir comment j’allais. Je leur ai dit que je pratiquais toujours le Falun Gong et comment le Falun Gong me donne un corps en santé. Je leur ai dit plus de faits au sujet du Falun Gong et les ai persuadés de démissionner du Parti communiste chinois. Ils ont tous accepté et ont même demandé d’emprunter le Zhuan Falun. Je chéris tellement le livre que j’ai hésité un peu. Mais j’espérais qu’ils le lisent, alors je leur ai laissé et leur ai demandé d’en prendre bien soin.

Nier le karma de maladie

Chaque fois que j’avais des tribulations de karma de maladie, je les niais toujours dans ma pensée. Peu importe comment les symptômes étaient graves, je ne portais pas attention aux réactions de mon corps. Quand je me sentais mal, je ne voulais pas me reposer. Je croyais que me reposer au lit revenait à reconnaître la tribulation. Je ne devais pas reconnaître le karma de maladie avec mes actions. À la place, je pensais aux enseignements du Maître. Avec le Fa dans mon cœur, le karma de maladie disparaissait rapidement.

Il y a quatre ans, j’ai soudainement été incapable de me lever et de marcher. C’était un symptôme de nécrose de la tête du fémur. Ma belle-sœur m’a demandé d’aller à l’hôpital, mais j’ai refusé — je savais que le Maître prendrait soin de moi. Ma maison est un site d’étude du Fa en groupe. Quand les pratiquants sont venus, j’ai essayé de faire les choses normalement et ils n’ont rien remarqué. J’ai insisté pour faire les tâches ménagères même si j’avais beaucoup de difficulté à me tenir le dos droit et que je devais me soutenir avec mes mains ou en m’appuyant sur des objets.

Je ne cessais de me dire que je suis une pratiquante et que je pouvais le faire. Au cinquième jour, j’étais toujours incapable de me tenir le dos droit. Je me suis dit que je coopérais avec les forces anciennes. Alors, j’ai doucement redressé mon dos pour marcher.

Le lendemain était le 20 juillet, marquant une autre année de persécution. Je me suis forcée pour sortir mettre des affiches. Après, j’ai été capable de marcher. Je suis revenue à la normale vingt jours plus tard. Grâce à cet épisode, ma belle-fille a été témoin du pouvoir de Dafa. Elle ne m’a plus demandé d’aller à l’hôpital quand j’ai eu du karma de maladie plus tard.

Une autre fois, j’ai soudainement commencé à vomir du sang pendant presque une heure. Je vomissais du sang avant de pratiquer Dafa, mais je ne l’ai pas pris au sérieux. J’ai gardé les enseignements du Maître à l’esprit et je me suis sentie rassurée. Je suis allée au lit comme d’habitude et je me suis sentie mieux le lendemain matin.

Il y a quelques années, j’ai eu un accident. Deux jeunes hommes sont passés à côté de moi portant un gros rondin de quatre mètres de long ; j’étais assise à proximité. Ils ont déposé le rondin pour prendre une pause, mais le rondin a glissé de leurs mains et est tombé carrément sur ma tête. Je me suis effondrée sur le sol. Mais j’ai eu une pensée avant de m’évanouir : je suis une pratiquante et j’ai le Maître qui me protège ; je vais bien aller.

Je me suis réveillée peu après. Les hommes étaient si effrayés et croyaient que j’étais morte. Je leur ai dit que j’étais une pratiquante de Falun Gong et que mon Maître m’avait protégée ; je ne voulais pas leur demander de l’argent. Je leur ai parlé du Falun Gong et de démissionner du PCC. Les deux ont accepté de le faire.

Les bénédictions de ma famille

Ma sœur est professeur à l’université. Elle a attrapé une étrange maladie en 2017. Elle était incapable de manger et tout son corps était douloureux. Avec le temps, elle est devenue émaciée. Elle était si misérable qu’elle ne voulait plus vivre. Je l’ai emmenée chez moi et je lui ai demandé d’écouter les enseignements du Maître, de lire le Zhuan Falun et de faire les exercices.

Peu après, elle a commencé à manger. Six jours plus tard, elle a recommencé à prendre du poids. Elle est maintenant une pratiquante en santé.

Ma belle-fille n’est pas une pratiquante, mais elle soutient Dafa. Elle accueille les pratiquants qui viennent chez moi pour étudier. Elle fait aussi des tâches ménagères afin de me donner plus de temps pour sortir parler aux gens de Dafa. Leur famille est très heureuse.

Je me sens si chanceuse d’être une pratiquante de Falun Gong. Je ne sais comment rembourser la compassion du Maître si ce n’est qu’en continuant à expliquer les faits aux gens et en continuant à sauver les gens.

Traduit de l’anglais au Canada