(Minghui.org) Je suis une pratiquante de Falun Dafa âgée de 76 ans. J’ai commencé à pratiquer Dafa en 1998. Malgré les difficultés et les tribulations, j’ai pu marcher diligemment jusqu’à ce jour et j’ai fait l’expérience de la protection de notre Maître compatissant.
Expérimenter le pouvoir de Dafa
Je suis née avec un handicap qui me faisait me sentir inférieure aux autres. Mes jambes et mes pieds étaient déformés et atrophiés, et il m’était très difficile de marcher. La paralysie nerveuse ralentissait mes réactions et ma réflexion. Mes organes internes n’étaient pas complètement développés et ne fonctionnaient pas bien. Les troubles endocriniens provoquaient des douleurs et des œdèmes généralisés qui ne pouvaient être soulagés qu’en dormant davantage. À l’adolescence, j’ai eu un cancer et j’ai dû subir une intervention chirurgicale importante. Les médecins ont dit à mes camarades de classe que je ne vivrais peut-être que quelques jours après l’opération. Pendant la première moitié de ma vie, j’ai souvent frôlé la mort.
Lorsqu’on m’a proposé un emploi, j’ai travaillé très dur et j’ai bien réussi, mais certaines personnes étaient jalouses et m’ont fait du mal. On ne peut imaginer à quel point ma vie était difficile ! Il semblait que tout le monde était contre moi, et ma vie était un cauchemar. Cependant, un voyant m’a dit un jour : « On veille sur toi et tu ne mourras pas. Dans le futur, tu n’auras pas à te soucier de comment t’en sortir. » Il a dit que ma vie profiterait à tous ceux qui m’entourent. Ainsi, j’ai compris que je devais rester en vie, peu importe ce que je devais endurer. Me souvenant des paroles du voyant, j’ai décidé d’attendre le jour où ma vie changerait.
Une ancienne camarade de classe dont je n’avais pas eu de nouvelles depuis plus d’un an a pris contact avec moi en 1997 et m’a présenté le Falun Dafa. En étudiant diligemment le Fa, j’ai compris que notre Maître compatissant m’avait protégée pendant toutes ces années. Le Maître a changé ma vie et m’a aidé à comprendre que je devais remplir ma mission pour aider le Maître à rectifier le Fa et à sauver les êtres.
Après avoir commencé à pratiquer Dafa, j’ai récupéré de mes maladies et mon esprit a été purifié. Mon corps était comme celui d’une personne normale. Cela m’a rendue vraiment heureuse !
Le Maître a dit :
« La vie humaine dans ce monde est pour attendre le Fa
Ceux qui sont bienveillants vont retourner au Ciel, rentrer à la maison
Des milliers d’années de réincarnation, après bien des détours
Venir dans ce monde juste pour cette fois-ci »
(« Venir dans ce monde juste pour cette fois-ci », Hong Yin IV)
« … tous les Gong, toutes les lois, tous sont dans le livre, la lecture du Dafa du début à la fin leur fera naturellement les acquérir. Ceux qui l’apprennent connaîtront un changement naturel et automatique, et s’engagent déjà dans le Dao en répétant la lecture complète. Il y a sûrement le Fashen du Maître qui les protège sans qu’ils le sachent, et avec persévérance, ils obtiendront certainement le Fruit juste dans le futur. » (« Effectuer un rituel pour demander quelqu’un pour Maître », Points essentiels pour avancer avec diligence)
Je chéris vraiment les occasions de cultivation que le Maître m’a données. Je veux cultiver fermement dans Dafa, valider Dafa, et remplir ma mission historique.
Cela fait plus de vingt ans que j’ai commencé à faire les trois choses que le Maître nous a demandé de faire. Je lis entre deux et trois conférences du Zhuan Falun, puis j’étudie d’autres enseignements du Fa. Je fais de mon mieux pour m’immerger dans le Fa, laisser le Fa me purifier et garder un esprit fort et droit.
Dans le passé, les gens prétendaient que je ne serais pas capable de cultiver avec succès. J’essaie d’éliminer ces souvenirs négatifs de mon esprit et je travaille dur pour éliminer mon fort karma de pensée. Je crois fermement que seul le Maître a le dernier mot sur tout, donc je ne crois qu’en lui. Je ne fais que ce que le Maître me dit de faire. C’est un immense honneur que le Maître m’offre la possibilité de pratiquer Dafa. Le Maître m’a tant donné, et tout ce que je peux faire, c’est de bien me cultiver et de faire de mon mieux pour sauver davantage d’êtres.
Éveiller la conscience des gens
Valider Dafa et sauver les êtres est ce que je dois faire chaque jour. Pour que les gens comprennent vraiment, je leur raconte comment je me suis améliorée après avoir commencé à pratiquer Dafa. Lorsque je croise d’anciens camarades de classe et collègues, ils sont étonnés lorsqu’ils remarquent à quel point je suis en bonne santé et ils me demandent : « Comment as-tu fait pour rajeunir autant et être en si bonne santé ? » Je leur réponds que c’est parce que je pratique le Falun Dafa. Je leur explique ensuite la vérité sur Dafa, je leur parle de son pouvoir de guérison et je leur explique pourquoi le Parti communiste chinois (PCC) le persécute. Je leur demande également de réciter « Falun Dafa est bon » et, s’ils ne montrent aucune objection, je leur donne une amulette.
Si les gens ne me connaissent pas, je leur demande de réciter « Falun Dafa est bon », lorsqu’ils font face à des épreuves. Je leur raconte mon expérience comme un exemple du pouvoir miraculeux de Dafa.
Avant le Nouvel An 2020, j’ai présenté Dafa à une gérante de magasin, qui a alors dit qu’elle voulait lire les livres de Falun Dafa. Lorsque je lui ai apporté les livres, elle a accepté de démissionner du PCC avec son vrai nom.
Mettre fin au harcèlement de la police
Lorsque j’ai été arrêtée il y a quelques années, j’ai raconté à la police comment le Falun Dafa m’avait transformée d’une personne gravement handicapée en une personne en bonne santé. Après avoir enquêté, ils ont découvert que ce que je leur avais dit était la vérité, et ils ont cessé de me harceler. Un directeur s’est même excusé auprès de ma famille ce jour-là. À partir de ce moment-là, la police n’est plus jamais venue chez moi pour me harceler.
Mes pieds ne sont toujours pas forts, et je tombe de temps en temps, mais je ne me blesse pas. Une fois, à 19 heures, je suis tombée en haut des escaliers du quatrième étage et je les ai dévalés jusqu’au troisième étage. J’ai fait deux tours et j’ai heurté la porte métallique du côté gauche du troisième étage, là où vivait une de mes collègues de travail qui refusait de me parler depuis des années. Ma chute a fait un énorme bruit et sa famille n’a pas osé ouvrir sa porte. Quand ils ont appris ce qui s’était passé, ils ont pensé que j’étais peut-être morte.
Lorsque je suis sortie le lendemain et que j’ai vu plusieurs collègues de travail, ils m’ont demandé pourquoi je n’étais pas restée à la maison puisque j’étais blessée. J’ai répondu que je pratiquais le Falun Dafa et que j’étais protégée par le Maître, donc que je n’avais pas été blessée. J’ai retroussé mes manches et je leur ai montré mes bras : ils étaient stupéfaits. En particulier, la collègue qui ne me parlait jamais m’a saluée et m’a parlé. Pendant la récente démolition de notre bâtiment, elle m’a rappelé à plusieurs reprises : « Fais attention à ta sécurité et parle moins. Le bureau de démolition t’a accordé une attention particulière. » Son rappel m’a vraiment aidée à me préparer, et j’ai réussi à répondre aux demandes du bureau de démolition.
Dire la vérité sur Dafa au bureau de démolition
En octobre 2019, l’immeuble résidentiel où je vivais allait être démoli, et une réunion de mobilisation a été organisée. Après la réunion, le directeur du bureau de la rue et le directeur de la communauté résidentielle sont venus me rendre visite. Ils m’ont posé des questions sur ma santé et m’ont demandé si le déménagement allait me poser des problèmes. Je savais qu’ils ne voulaient qu’une confirmation de ma part, puisque j’étais la seule personne à avoir besoin d’une indemnisation. Je savais que je ne devais pas me battre pour des intérêts matériels, je leur ai donc dit que je ne m’attendais pas à ce que ma famille ou moi-même ayons des problèmes et que je m’occuperais de tout et signerais l’accord à temps.
Ils ont vu que je m’en sortais bien, et ils étaient satisfaits de ce que je leur ai dit, alors ils sont partis sans me causer d’ennuis.
Le matin du 16 janvier 2020, lorsque mon mari et moi nous sommes rendus au bureau de démolition pour signer les contrats, le personnel a fait entrer le secrétaire de rue. Devant près de 20 membres du personnel, le secrétaire nous a dit en souriant : « Vous n’avez pas l’air d’avoir 70 ans ! Vous n’avez pas de rides sur le visage. Mon père est à peine plus âgé que vous, mais sa santé est bien pire ! Comment faites-vous ? » Il y avait beaucoup de monde, dont plusieurs directeurs et quelques policiers en civil. J’avais réfléchi à ce que j’allais dire, alors j’ai simplement dit : « J’essaie de faire de l’exercice tous les jours. »
Il a demandé à nouveau : « Quel genre d’exercice ? » J’hésitais encore, mais mon mari, qui n’est pas un pratiquant, a dit : « Elle s’est rétablie après avoir pratiqué le Falun Dafa. » Puis il a parlé de la mauvaise santé que j’avais avant et de l’amélioration de ma santé après avoir pratiqué Dafa. Le secrétaire a acquiescé et acquiescé, et tout le monde écoutait. Après que mon mari a terminé, le secrétaire a souri et a dit comme pour résumer : « La santé est ce qu’il y a de plus important ! » Aucune des personnes présentes n’a eu de réactions inhabituelles. Chaque fois que nous y sommes retournés pour d’autres raisons, les personnes présentes nous ont toujours traités avec gentillesse.
Coopérer avec les autres pratiquants pour clarifier la vérité et sauver les gens
Les autres compagnons de cultivation ont besoin de documents pour clarifier la vérité, mais il est parfois difficile de les obtenir. J’ai décidé de livrer ces documents. Peut-être que c’était ce que le Maître avait prévu pour moi dans le dessein de ma mission pour sauver les gens. Chaque fois que les documents sont prêts, j’essaie de les livrer aux autres pratiquants aussi rapidement que possible, quelle que soit la distance à laquelle ils vivent. J’aide également à distribuer les billets de banque sur lesquels sont imprimées des phrases de clarification de la vérité. Je donne d’abord les billets que j’ai aux pratiquants qui impriment les phrases dessus. Une fois que je les ai récupérés, je les distribue aux pratiquants qui me donnent ensuite les billets non imprimés.
Au début de la pandémie, j’ai dû livrer des documents à encore plus de pratiquants. J’étais toujours très occupée à obtenir des documents à les diviser, à les emballer et à les livrer, mais je savais que cette période spéciale était un moment idéal pour que davantage de personnes apprennent la vérité sur Dafa et soient sauvées ; j’étais donc très heureuse. S’il y a trop de travail, je demande à mon mari de m’aider à diviser et à emballer.
Cette tâche n’est pas facile à réaliser, ni physiquement ni financièrement, et la sécurité est toujours un souci. C’est encore plus difficile pour quelqu’un comme moi qui ai du mal à marcher. Chaque fois que je me sens sous pression, je récite le Fa du Maître :
« Les innombrables années d’épreuves n’ont été que pour cette fois-ci »
(« Disciples de Dafa dans le monde entier, Disciples de Dafa en Chine continentale, Bonne fête de la mi-automne ! », Points essentiels pour avancer avec diligence III)
Peu importe la difficulté ou la fatigue que je ressens, je sais que je dois bien faire. Rien ne peut m’arrêter, car je sais que le Maître me protège.
Lorsque le sac à dos est si lourd que je ne pense plus pouvoir marcher, je demande de l’aide au Maître, et je sens alors que mon sac à dos est soudain beaucoup plus léger et que je ne me sens plus fatiguée. En comparaison, le sac à dos vide semble plus lourd sur le chemin du retour. Parfois, lorsque je suis très fatiguée dans le bus, quelqu’un voit qu’il y a un problème avec mes pieds et m’offre sa place. Je remercie la personne, puis je remercie le Maître de prendre soin de moi.
Souvent, lorsque nous rencontrons des problèmes ou des circonstances particulières, nous ne pouvons pas en parler en personne ou au téléphone pour des raisons de sécurité. Une fois, je devais me rendre dans une ville voisine pour imprimer des phrases sur des billets de banque, mais j’avais un autre rendez-vous et je ne pouvais pas y aller. Une compagne de cultivation s’y rendait par hasard, et je lui ai demandé de prendre l’argent. J’ai emballé l’argent dans de petits paquets et les lui ai donnés. Comme elle était pressée, je lui ai simplement dit le montant total sans le recompter. Deux heures plus tard, je me suis rendu compte que j’avais fait une erreur importante en comptant les billets et que je lui en avais donné beaucoup plus que ce que je lui avais dit. Je l’ai rapidement appelée pour lui demander de compter l’argent, mais elle avait déjà tout remis aux pratiquants qui imprimaient les phrases.
Je travaillais avec ces pratiquants depuis plusieurs années, je savais donc comment leur équipe fonctionnait. Ils mettaient généralement l’argent des différents pratiquants en une seule pile, puis le répartissaient entre les membres de l’équipe chargée de l’impression. Ensuite, ils nous rendaient les factures imprimées en fonction du montant que nous avions remis.
Je me suis souvenue du rêve que j’avais fait la nuit précédente : j’avais perdu 5000 yuans. Pourquoi cela n’a-t-il pas attiré mon attention pour que je sois plus prudente ? Je me suis dit : « Il semble que je n’aurai qu’à donner le montant mal compté par moi. C’était uniquement ma faute. »
Au bout de quelques semaines, la pratiquante a rapporté l’argent après que les phrases ont été imprimées dessus. J’ai demandé combien il y avait. Elle a répondu que c’était la somme que je lui avais donnée, car elle n’avait pas été mélangée aux autres piles. J’ai rapidement compté, et le montant total était là.
Lorsque le PCC a commencé à surveiller les pratiquants de plus près, certains pratiquants m’ont demandé : « Tu n’as pas peur ? Tu transportes souvent ces documents dans de grands sacs à dos. » J’ai répondu : « C’est quelque chose que le Maître m’a demandé de faire. Les autres pratiquants ont besoin de ces documents, alors je dois le faire. Il n’y aura aucun problème avec la protection du Maître. »
En effet, j’ai pu tout faire de manière relativement fluide. Je n’ai été dans des situations dangereuses que deux fois, mais j’ai été en sécurité les deux fois. C’était il y a dix ans. On m’a signalée alors que je livrais des documents et la police m’a arrêtée. Mais, grâce à la protection du Maître, aux efforts de sauvetage vigoureux des autres pratiquants et à ma pensée droite, j’ai été rapidement libérée du centre de détention.
Il y a trois ans, j’ai pris un bus longue distance pour rentrer chez moi avec trois sacs de billets et de documents de clarification de la vérité. Lorsque le bus est entré dans une station de péage, des dizaines de policiers l’ont entouré. Certains des policiers sont montés dans le bus avec des fusils et des matraques électriques et ont fouillé tous les passagers. Il s’est avéré qu’ils recherchaient un terroriste présumé avec des bombes !
Il n’y avait qu’une poignée de passagers dans le bus, et personne d’autre n’avait de sacs. Il y avait plus de policiers que de passagers, et ils inspectaient tout le bus. J’étais très inquiète pour les trois sacs que j’avais placés sous le siège près de la fenêtre. J’avais l’impression que mon cœur se resserrait et que ma tête était sur le point d’exploser, mais mon esprit était encore clair. Je savais que je devais maintenant abandonner la vie et la mort, et j’ai demandé au Maître de m’aider à sortir de cette situation dangereuse. J’ai dit dans mon cœur : « Maître, ce matériel aide à sauver des gens. Je ne peux pas laisser la police persécuter les pratiquants de Dafa et empêcher les êtres d’être sauvés. Maître, s’il vous plaît, aidez-moi ! » Puis j’ai émis une forte pensée droite. La police a inspecté l’ensemble du bus, mais n’a pas vu mes sacs. Ils ont seulement regardé la carte de passager senior que je leur ai remise. Ils ont ensuite laissé partir le bus.
Soumettre les noms des personnes qui ont démissionné du PCC
Lorsque je livre des documents à d’autres pratiquants, ils me donnent souvent des listes de noms de personnes qui ont démissionné du PCC. J’organise alors la liste et inscris les noms sur le site web de The Epoch Times. Au cours des neuf dernières années, j’ai saisi plus de 100 000 noms.
La période la plus mémorable a eu lieu il y a quelques années à la fin du mois de décembre, lorsque j’ai reçu une liste de plus de 1000 noms. Je les ai triés en dizaines de listes pour les remettre au site de The Epoch Times, mais pour une raison quelconque, je n’ai pas pu me connecter à l’Internet, même après de nombreux essais. J’ai pensé que c’était peut-être dû au fait que le PCC bloquait l’Internet. J’avais peur qu’ils me suivent et me surveillent si je continuais à essayer, alors j’ai pensé à éteindre l’ordinateur et à attendre le lendemain pour réessayer. Mais dès que j’ai eu cette pensée, le bas de l’écran a affiché « N’éteignez pas l’ordinateur, attendez et réessayez », « le réseau est normal » et d’autres messages similaires, encore et encore. Je me suis rendu compte que c’était le Maître qui m’indiquait quoi faire, alors j’ai simplement suivi les messages. J’ai envoyé quelques listes et j’ai attendu un moment, puis j’ai envoyé un autre lot et j’ai attendu un moment, jusqu’à ce que j’aie entré toutes les listes.
Après avoir soumis la dernière liste, j’ai vu que la température intérieure n’était que de 13 °C, mais mon visage était très chaud. En revanche, mon dos était un peu froid et lorsque je l’ai touché, j’ai été surprise de constater que mes vêtements étaient trempés de sueur. C’était peut-être le reflet de la bataille féroce entre le bien et le mal dans une autre dimension qui faisait rage dans mon corps !
Porter de lourdes charges et livrer des documents m’a beaucoup aidé dans ma cultivation. Cela m’a permis d’endurer des épreuves, d’éliminer le karma, de renforcer ma pensée droite et la confiance en moi. J’ai également appris à gérer les pertes, à supporter les humiliations et à devenir tolérante. En conséquence, mon xinxing s’est considérablement élevé.
Répandre la vérité pendant la pandémie
Lorsque la pandémie s’est déclarée pendant le Nouvel An chinois 2020, des avis ont été affichés partout : « Ne pas voyager », « Ne pas se rassembler », « Porter un masque », etc. Tous les magasins étaient fermés. Les bus circulaient toutes les demi-heures au lieu de toutes les quelques minutes, et la plupart du temps, il n’y avait qu’une ou deux personnes dans un bus. Des personnes portant des manches rouges utilisaient des haut-parleurs pour persuader les gens de rentrer chez eux et de ne pas rester dehors. Tout cela a accru mon sentiment d’urgence. Les pratiquants de Dafa doivent se dépêcher et aider plus de gens à comprendre la vérité.
Je ne me suis pas reposée un seul jour pendant la pandémie – j’ai fait tout mon possible pour clarifier la vérité et sauver les gens. Les rues près de chez moi n’étaient pas fermées, mais les gens n’avaient le droit de marcher que seuls et devaient maintenir une distance sociale. La plupart des communautés résidentielles sont devenues très strictes et ont demandé aux résidents de s’enregistrer lorsqu’ils entraient et sortaient. Cependant, la communauté où je vivais était en cours de démolition, et personne ne gardait l’entrée. Cela m’a permis de sortir pour clarifier la vérité et sauver les gens. J’ai pu distribuer régulièrement des documents aux autres pratiquants, comme d’habitude. La seule différence était que, plus souvent qu’avant, lorsque j’arrivais sur place, je ne pouvais pas entrer en contact avec le pratiquant qui était censé récupérer les documents, et je devais les ramener chez moi. Mais cela ne me dérangeait pas et je n’avais pas peur de devoir y retourner le lendemain.
Je passais une demi-journée par jour à sortir pour clarifier la vérité et sauver les gens. Pendant la pandémie, tout le monde essayait de rester chez soi et gardait une certaine distance lorsqu’il fallait sortir. Tout le monde était très prudent lorsqu’il s’agissait de parler aux gens. Il était donc très difficile de distribuer des documents et de clarifier la vérité en face à face. J’ai principalement distribué des dépliants sur Dafa. J’utilise également deux téléphones portables pour clarifier la vérité. L’un est un téléphone ordinaire qui envoie des textes de clarification. L’autre fonctionne comme une station mobile, et les personnes à proximité peuvent recevoir les messages si leur écran est allumé. Les messages que j’envoie sont « Falun Dafa est bon », « Démissionnez du PCC pour être en sécurité », « Traitez bien Dafa et soyez bénis », etc.
Pour éviter les caméras de surveillance et les voitures de police, je marchais en émettant la pensée droite pour éliminer les mauvais facteurs et je cherchais des endroits où mettre des dépliants sur les véhicules des gens et les portes des magasins. Je n’utilise également que des billets portant des messages de clarification de la vérité lorsque je fais des achats.
Après le début de la pandémie, j’ai constaté que l’utilisation du téléphone de la station mobile seul fonctionnait mieux que l’utilisation des deux téléphones. Au cours des deux premières semaines, seule une dizaine de personnes ont reçu les phrases. Mais le nombre n’a cessé d’augmenter et bientôt il y en avait environ 200 par jour. Lorsque la situation pandémique s’est améliorée plus tard en 2020, le nombre a de nouveau augmenté pour atteindre entre 200 et 400 personnes par jour et parfois même 1000 lorsque je suis sortie deux fois par jour.
Un matin, un pratiquant a demandé des billets de clarification de la vérité, mais lorsque je me suis rendue sur place, nous n’avons pas pu entrer en contact. J’ai donc décidé de les livrer le lendemain au domicile d’une autre pratiquante, qui se trouvait dans la même communauté. Lorsque j’ai franchi le portail, le garde de sécurité regardait dans ma direction, mais il ne m’a pas vue, alors je suis entrée sans problème. Je suis arrivée au domicile de la pratiquante et lui ai expliqué la situation. Elle m’a dit que dans un rêve, la nuit précédente, elle avait entendu quelqu’un lui dire : « Il y a de l’argent pour la clarification de la vérité sous ton oreiller », puis je suis arrivée tôt le matin. Nous avons toutes deux remercié le Maître de m’avoir aidée.
Un autre matin, je suis allée chercher de l’argent à la banque et j’ai utilisé le téléphone portable pour envoyer des messages en cours de route. En arrivant à la banque, j’ai vu une voiture de police et je me suis souvenue que je n’avais pas éteint le téléphone. Je me suis demandé : « Si la police avait déjà reçu les SMS et si elle allait me déranger ? Non, la police a aussi besoin de comprendre la vérité et d’être sauvée. C’est bien s’ils l’ont reçu. » Mais pour des raisons de sécurité, j’espérais que je n’aurais pas besoin de m’enregistrer à la banque.
Lorsque j’ai franchi la porte de la banque, l’agent de sécurité a essayé de vérifier ma température. Il a balayé plusieurs zones sur moi, mais n’a pas pu obtenir de lecture. Il a dit : « Pourquoi le système n’enregistre-t-il pas votre température ? Vous n’avez pas de température ? Oubliez ça, vous pouvez entrer ! » Quand j’ai eu fini et que je suis sortie, l’agent de sécurité m’a dit que je devais m’enregistrer. « S’enregistrer pour quoi ? » ai-je demandé. Il m’a jeté un nouveau regard et m’a dit : « Oubliez ça, vous n’avez pas besoin de vous enregistrer. Allez-y ! » Je savais que le Maître m’avait à nouveau protégée et je l’ai remercié dans mon cœur.
J’ai toujours pris mon téléphone avec moi pour envoyer des messages, même lorsque je faisais des courses ou prenais le bus.
Une collègue de travail qui a compris la vérité m’a dit : « Mon mari n’a pas cru les informations de clarification que tu lui as communiquées et a refusé de démissionner du PCC. Il avait un cancer du poumon et hurlait de douleur dans ses derniers jours. Je lui ai alors dit de réciter “Falun Dafa est bon”, et cette fois il a écouté. La douleur s’est progressivement atténuée, et il est décédé paisiblement quelques jours plus tard. Après sa mort, son visage était calme et paisible, et sa peau avait un beau teint. » J’ai dit que c’était parce que son âme était sauvée.
Je me suis souvenue que le Maître avait dit un jour que beaucoup de gens n’avaient pas encore exprimé leur opinion sur Dafa. Je sens que je dois vraiment utiliser le téléphone portable pour clarifier la vérité afin que plus de gens aient l’occasion d’entendre la vérité et d’être sauvés. Ainsi, j’insiste pour prendre le téléphone avec moi partout où je vais. J’essaie de sortir deux fois par jour et, la plupart du temps, entre 700 et 900 personnes reçoivent mes textos. Bien sûr, recevoir un message ne signifie pas que la personne l’accepte, mais c’est une occasion pour elles d’être exposées à la vérité.
Merci, Maître, pour vos arrangements, votre aide minutieuse et pour avoir pris soin de moi ! Je suis à jamais reconnaissante envers le Maître !
(Dix-huitième conférence de partage d’expériences par Internet de Minghui pour les disciples de Dafa de Chine continentale 2021)
Traduit de l’anglais
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