La mission d'un pratiquant est de sauver les gens

(Minghui.org) Le Maître a dit :

« Bien faire consiste en tout ce que vous avez prouvé et compris par votre sens de l’éveil, bien trier, éliminer les déchets, l’essence restante sera votre chemin de réussite. » (Enseignement du Fa au moment de la Fête de la lanterne de l’an 2003)

J'ai de nombreuses insuffisances, mais je veux partager mes précieuses et uniques expériences de cultivation afin que nous puissions nous élever ensemble.

Me rectifier après avoir obtenu le Fa

On a diagnostiqué à mon enfant une maladie inconnue lorsqu'il avait trois ans. Il a reçu toutes sortes de traitements à Pékin pendant deux ans. Durant cette période, ma belle-mère, qui habitait près de chez nous, a fermé les yeux devant nos difficultés et n'a pas offert d'aide. Nous avons dû emmener notre enfant dans notre ville natale et demander à ma mère de s'occuper de lui, parce que nous devions tous les deux travailler. J'étais très blessée et j'ai décidé de ne plus communiquer avec elle. Mon mari était aussi blessé et ne voulait plus rendre visite à ses parents.

J'étais une femme qui avait une grande force de volonté, mais j'ai pleuré amèrement plusieurs fois parce que ma belle-mère ne me traitait pas bien. Mon frère cadet me plaignait et voulait m'aider. Il ne pratiquait pas le Falun Dafa, mais il croyait que le Falun Dafa pouvait m'aider, parce qu'il a vu de ses propres yeux ses collègues changer après avoir pratiqué le Falun Dafa. Ils ont été guéris de leurs maladies et ont développé une ouverture d'esprit. Alors il a emprunté le livre Zhuan Falun et m'a demandé de le lire.

Une de mes camarades de classe avait pratiqué d'autres méthodes de qigong et cela ne m'intéressait pas. Je pensais que toutes les méthodes de qigong étaient trompeuses et je ne voulais pas lire le livre. Mon frère n'a pas renoncé. Il m'a lu le Zhuan Falun chaque soir pendant que je tricotais.

J'ai pensé que c'était intéressant. La chose étrange était que les caractères dans le livre m'apparaissaient très gros. Je n'y ai pas réfléchi et j'ai rendu le Zhuan Falun à mon frère.

À la fin de 1997, j’ai voulu relire le Zhuan Falun, alors je l'ai emprunté une deuxième fois et j'ai remarqué que la police de caractère était en fait d'une taille standard. Je me suis sentie bizarre, mais je n'y ai pas réfléchi davantage. Il m'a fallu trois jours et deux nuits pour lire le livre. J'ai pensé que les exigences dans le Zhuan Falun étaient trop difficiles à maîtriser pour moi, alors je ne voulais pas pratiquer.

J'ai fait un rêve cette nuit-là. Une voix m'a demandé : « Cultiver pour qui ? » La voix m'a posé la même question encore et encore toute la nuit. Avant de me réveiller à l'aube, j'ai répondu dans mon rêve : « Je cultive pour moi-même. Je cultive mon cœur. »

J'ai commencé à cultiver. Après avoir lu le Zhuan Falun, j'ai compris la question de l'affinité prédestinée entre les gens. J'ai compris que j'avais peut-être maltraité ma belle-mère dans une vie précédente, alors elle n'était pas gentille avec moi maintenant. J'ai emmené mon enfant pour lui rendre visite afin de me réconcilier avec elle. Ma belle-mère a été très touchée et a dit à ses voisins que j’étais devenue plus gentille après avoir pratiqué le Falun Dafa.

Ma belle-mère a développé la droiture d'esprit au sujet de Dafa grâce à mon comportement. Quand j'ai été persécutée en raison de ma croyance et détenue dans un poste de police, elle m'a apporté de la nourriture et un melon d'eau pendant le chaud été de juillet. Elle est en surpoids, alors ce n'était pas facile pour elle de faire un long trajet pour me rendre visite. Elle n'avait pas peur et a dit à la police de me libérer immédiatement, parce que j’étais une bonne personne et que je n'avais rien fait de mal.

Un comportement droit dans les épreuves

Cependant, je me suis relâchée en 2003 et je n'ai pas bien cultivé. C'était comme le Maître a dit :

« Quand une personne moyenne entend parler du Tao, tantôt elle le pratique, tantôt non. » (Neuvième Leçon, Zhuan Falun)

J'ai commencé à rechercher la célébrité et les intérêts personnels, et mon relâchement a donné lieu à de grandes épreuves. La police est venue à mon lieu de travail et m'a arrêtée devant tous mes collègues à la fin mai 2003. Ils m'ont tirée par les cheveux, jetée dans la voiture de police et emmenée dans ma ville natale.

Ma première pensée à l'époque était ce que le Maître a dit :

« Je suis enraciné au plus profond de l’univers ; si quelqu’un était capable de s’en prendre à vous, c’est à moi qu’il s’en prendrait et pour le dire carrément, il s’en prendrait à l’univers. » (Première Leçon, Zhuan Falun)

La police a forcé ma mère de me supplier de renoncer à ma croyance. Je l'ai réconfortée, mais je n'ai pas fléchi.

Le lendemain, la police dans ma ville natale m'a emmenée au département de police du canton et m'a menottée à un gros arbre. J'avais une seule pensée – émettre la pensée droite et nier la persécution. Après un certain temps, leur comportement a changé et ils ont déverrouillé les menottes.

Je n'ai pas coopéré avec eux. Dans l'après-midi, ils ont emmené la pratiquante qui m'avait signalée à la police. Quand je l'ai vue, je n'ai pas eu de ressentiment envers elle. J'espérais qu'elle pourrait avancer sur son chemin avec droiture. J'avais émis la pensée droite toute la matinée. Personne ne me surveillait plus dans l'après-midi.

Ce jour-là, je me suis rendu compte que le Maître me donnait une indication de partir. Au début, je ne voulais pas suivre l'indication du Maître, parce que je voulais que la police me libère officiellement et me présente des excuses. Mais le Maître a maintes fois donné des indications de partir, alors j'ai décidé d’essayer. Je suis sortie dans la cour. Quand je l'ai fait, tous les agents regardaient dans d'autres directions, alors personne ne m'a remarquée. Et effectivement, il y avait une petite colline à côté du haut mur de deux mètres, alors j'ai vite grimpé en haut et j'ai sauté.

Quand j'ai sauté, un vieil homme qui était debout à côté du mur m'a demandé comment j’étais sortie. Je l'ai ignoré et je me suis éloignée. À ce moment-là, un policier en uniforme s'est approché et le vieil homme lui a dit : « Elle a sauté par-dessus le mur. » J'ai pensé : « Ne poursuivez pas ! Si vous me poursuivez, je vous gèlerai. »

Je n'ai ni couru ni regardé derrière moi. J'ai demandé à une personne comment se rendre à l’arrêt de bus longue distance. Comme il s'y rendait lui-même, il m'a emmenée sur sa moto. J'ai manqué le dernier bus pour rentrer chez moi, alors j'ai pris un taxi jusqu'au domicile d'une pratiquante locale. Elle s'est arrangée pour que je reste chez un parent et m'a suggéré de ne pas rentrer chez moi.

J'ai pensé à ne pas retourner chez moi, mais ensuite je me suis rendu compte que c'était le chemin arrangé par les forces anciennes, alors je suis retournée dans ma ville une semaine plus tard.

Je suis allée au domicile d'une pratiquante âgée au lieu du mien. Elle était très diligente. Elle étudie trois leçons du Zhuan Falun et fait les exercices chaque jour. Elle émet la pensée droite chaque heure. Elle utilisait très bien son temps.

Quand j'ai étudié le Fa avec elle, au début je n’arrivais pas à me concentrer pendant que je lisais. Cependant, plus j'étudiais le Fa, plus je pouvais me concentrer. Plus tard, quand j'ai pris le Zhuan Falun, j'ai eu le sentiment que c'était un livre divin.

Expérimenter le pouvoir de Dafa

Le Maître m'a fait comprendre de nombreux principes du Fa durant cette période. Par exemple, je dormais très peu. Un jour, j'ai senti que j'avais dormi pendant longtemps, mais quand je me suis réveillée, seulement cinq minutes s’étaient écoulées. J'avais peur d'être distraite pendant l'émission de la pensée droite, alors j'ai gardé les yeux ouverts. Un jour, j'ai vu le « démon du sommeil ». Il a disparu après que j'ai dit : « Mie [Éliminer]. »

Le Maître a dit :

« Le disque du taiji se fend et ils voient des images. Mais ça ne veut pas dire que vous avez un taiji dans la tête, c’est le maître qui vous a installé un ensemble de choses dès le début, parmi lesquelles le taiji ; il vous a scellé l’œil céleste et au moment où il s’ouvre, le disque du taiji se fend. C’est le maître qui a arrangé cela exprès pour vous, à l’origine ça n’existait pas dans votre tête. » (Deuxième Leçon, Zhuan Falun)

J'ai vu que le Maître a installé dans notre corps le verset que nous disons avant d'émettre la pensée droite.

Cultivant véritablement, ma peau est devenue délicate, et je pouvais sentir et voir les changements à l'intérieur de moi chaque jour. Quand je suis allée chez moi un mois plus tard, j'avais l'air d'avoir autour de 18 ans. J'ai vraiment senti la magie et la magnificence de Dafa.

J'ai décidé de valider le Fa au travail parce que j'ai été arrêtée là-bas. Alors je suis allée et j'ai dit à tout le monde que j'étais de retour saine et sauve. Plus tard, j'ai appris que la police de ma ville natale était venue dans ma ville résidentielle et avait dit à la police de m'arrêter. Cependant, la police locale n'a pas tenu compte de leur demande. C'était le pouvoir de la pensée droite.

Mais ce n'était pas encore fini. Le lendemain de mon retour au travail en 2004, le directeur général de la compagnie est venu dans mon bureau et a dit : « Je voulais juste vous prévenir afin que vous soyez préparée. Nous avons l'intention de vous emmener dans un centre de lavage de cerveau. » Il a dit que c'était une décision du siège et qu'il ne pouvait rien faire à ce sujet.

J'ai pensé à ce que le Maître a dit :

« Là où un problème apparaît, là il est nécessaire que vous alliez clarifier la vérité, apporter le salut. Il ne faut pas quand on rencontre un problème le contourner. » (« Enseignement de la Loi à la Conférence de Loi de Washington DC », Enseignement de Fa dans les conférences II)

Alors j'ai décidé de clarifier la vérité au siège. Le Maître a très bien arrangé les choses pour moi : j'avais deux jours de congé, alors j'ai émis la pensée droite fréquemment. J'ai aussi compris un principe dans le Fa que, si c'est conforme au dessein de l'univers, un pratiquant peut avoir un emploi et une famille dans la société ordinaire, et quiconque ose persécuter un disciple de Dafa sera éliminé.

C'est comme le Maître a dit :

« Ces démons qui commettent de grands crimes doivent tout simplement être tués, c’est aussi une inévitabilité de la période de la fin du Fa et de la fin du kalpa. » (« Enseignement du Fa pour les assistants de Falun Dafa à Changchun », Falun Dafa Yijie)

Dès que je me suis éveillée à ce principe, mon œil céleste a vu un bâtiment s'effondrer dans un autre espace.

J'ai écrit une lettre au dirigeant du siège que je lui ai remise quand je l'ai croisé. Quelques heures plus tard, il a appelé mon manager et lui a dit de ne pas m'emmener au centre de lavage de cerveau. Mais ensuite il m'a demandé d'écrire une déclaration de garantie pour promettre que je n'irais pas à Pékin afin de faire appel en faveur du Falun Dafa et que je ne distribuerais pas des documents clarifiant la vérité.

J'ai écrit une lettre exprimant ma reconnaissance à l’entreprise et je leur ai dit que je serais responsable de moi.

À ce moment-là, je n'étais pas très stable et je me demandais si mon entreprise accepterait ma déclaration. Soudain, j'ai entendu le Maître dire : « Tu es qualifiée si le Maître dit que tu es qualifiée. » Les larmes me sont venues aux yeux quand j'ai entendu la voix du Maître, et ma pensée droite est revenue immédiatement : « Oui, je suis une disciple du Maître ! » Je me suis calmée, sachant que cet incident finirait bien.

Plus tard, j'ai appris que mon entreprise n'avait pas eu un classement aussi bon qu'auparavant parce que je pratique le Falun Dafa. Le siège était furieux et a mis une grande pression sur la succursale où je travaillais. Mais la question a été résolue.

À travers cette épreuve, j’ai réalisé combien la cultivation est une affaire sérieuse. Depuis lors, je me suis comportée comme une pratiquante et j'ai marché sur un chemin droit. Mon manager avait aussi une pensée droite. Plusieurs fois il a refusé d'aider le département de sécurité de la ville quand ils ont essayé de me persécuter. Il a entendu de plus en plus la vérité de ma bouche au cours des années.

Éveiller les gens

Un chauffeur qui travaillait dans mon bureau avait l'habitude de voler. Une fois, notre supérieure nous a tous demandé d'être vigilants avec les voleurs devant lui. Je savais que la supérieure avait fait cela exprès, alors j'ai dit : « Tout le monde fait des erreurs. Tout ira bien si on se rend compte de son erreur et qu’on fait mieux. » J'étais gentille avec tout le monde, y compris le chauffeur, qui m’a aussi volé de l'argent. Il a graduellement compris que les pratiquants sont de bonnes personnes et il a démissionné du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organisations pour la jeunesse. Une fois, une commerciale n'a rien dit quand je lui ai clarifié la vérité. Le chauffeur a dit tout à coup : « Démissionnez dès que possible afin que vous soyez en sécurité ! »

Au début, ma supérieure n'acceptait pas la vérité. Une fois elle m'a même signalée quand je donnais des documents d'information à mes collègues. Je ne lui en voulais pas du tout et je l'aidais souvent. Je demandais toujours à mon mari de l'emmener en voiture après le travail, même par mauvais temps. Finalement, elle a compris la vérité et une fois, elle m'a donné le document de Dafa qu'elle avait trouvé dans son immeuble. Elle a dit : « J'ai trouvé ceci par terre. Je ne peux pas supporter que les gens marchent dessus, car je sais que vous êtes tous de bonnes personnes, alors je te l'ai apporté. »

Distribuer des documents clarifiant la vérité

Le Maître a dit :

« Réincarnation après réincarnation,

l’attente dans la souffrance a été déchirante

La poussière rouge et la mer de désirs sont sans fin

Tout cela seulement pour ce bout de papier qui semble si ordinaire »

(« Prêtez attention », Hong Yin III)

Je pleure quand je lis ce poème. Je sais que j'ai fait un vœu avant l’histoire pour sauver les gens, alors je distribue les documents clarifiant la vérité depuis que la persécution a commencé.

En 2005, j'ai mis sur pied un centre de production de documents. J'ai acheté des ordinateurs portables, des tours d'ordinateurs, des imprimantes et d'autres équipements. À l'époque, ces choses coûtaient cher. Pourtant, chaque fois que j'avais besoin d'argent pour acheter l'équipement, je recevais une prime ou un cadeau d'un membre de la famille pour pouvoir acheter ce dont j'avais besoin.

Je portais des documents clarifiant la vérité avec moi chaque jour et quand c'était possible, je les distribuais. Mes collègues savaient que je ne ratais pas une occasion de les distribuer. Ils me demandaient de les accompagner quand ils sortaient et me couvraient afin que je puisse distribuer les documents.

Notre bureau était dans le secteur du centre-ville, où il y avait de nombreuses caméras de surveillance. Quand je distribuais les documents pendant ma pause de midi, je n'avais habituellement pas le temps de changer de vêtements, alors je sortais en uniforme. Une fois, j'ai eu un peu peur, alors j'ai continué à penser : « Les pensées humaines sont toutes pas droites. Tous ces sentiments sont irréels. » J'ai continué à penser à cela jusqu'à ce que je me sois calmée et que je n’aie plus la pensée d'être attrapée. Après le travail, j'avais l'habitude de manger un en-cas léger pour le repas du soir, afin que je puisse avoir plus de temps pour distribuer les documents dans la communauté à proximité.

Il y a un secteur résidentiel pour le personnel d'une chaîne de télévision par câble. Je voulais distribuer les documents dans ces immeubles, mais en raison des caméras de surveillance, pendant longtemps je n'ai pas réussi à trouver une bonne occasion. Un jour, il pleuvait, alors je suis allée là-bas avec un parapluie. Il s'est trouvé qu'une porte de sécurité était ouverte. Cela m'a donné l'occasion de distribuer quelques brochures. Quand je suis rentrée chez moi, je me suis demandé s'il y aurait un résultat quelconque. Comme j’avais eu cette pensée, avec mon œil céleste j'ai vu un écran. Un homme dans la quarantaine a pris une brochure et l'a lue. Il a dit : « Oh, c'est ça qui est arrivé ! » Il comprenait ! Je savais que le Maître m'encourageait. Je vais simplement le faire, afin que les êtres aient une occasion d'apprendre la vérité.

Je distribue les documents par n'importe quel temps et pendant les vacances, y compris la veille du Nouvel An. Une fois, j'ai dû monter les escaliers pour distribuer les documents dans une tour de 18 étages. J'ai eu subitement la pensée : « Le Maître est toujours à côté de nous. » Ma pensée droite a été renforcée par cette pensée. J'ai distribué plus de 50 brochures de grand format, presque instantanément. Quand je suis redescendue, j'ai senti comme s'il y avait seulement quelques marches.

Après avoir pris ma retraite, j'ai passé plus de temps à distribuer les documents. Mon mari m'a aussi considérablement aidée. Une fois, j'ai imprimé 100 brochures et je me suis demandé où je les distribuerais. Soudain mon mari a dit : « Aujourd'hui, allons au centre commercial pour acheter des appareils ménagers. » Il a ajouté : « Fais tes affaires d'abord, puis nous irons au magasin quand tu auras fini. »

Une autre fois, quand je ne savais pas où les distribuer, il a dit : « Je vais te montrer un endroit ! » Il m'a emmenée dans un quartier où les parents de son ami habitait. Il a dit : « Parfois, je me déplace en voiture et je cherche des endroits où tu peux distribuer les documents. »

Le Maître a dit :

« Maintenez de fortes pensées droites et ayez conscience que ce que vous faites est pour sauver les gens. » (« Enseignement de la Loi à la Conférence de Loi de la grande région de New York 2009 », Enseignement de Fa dans les conférences IX)

Une fois quand je sortais d'un immeuble, j'ai croisé le gardien de sécurité. Il a crié que maintenant il savait qui distribuait les documents. Je me suis retournée et j'ai dit tout en gardant une forte pensée droite : « Je distribue des documents qui disent la vérité sur le Falun Dafa afin de sauver les gens. » Étonnamment, il a adouci son ton immédiatement et m'a suppliée d'enlever les documents parce que son patron habitait dans cet immeuble.

Je voulais clarifier la vérité à ce gardien, alors je suis retournée et j'ai repris quelques brochures que j'avais placées dans des endroits visibles. Il était très content et les a demandées.

Dans un secteur résidentiel pour les militaires, j'ai essayé une fois d'entrer dans l'immeuble, mais le gardien de sécurité m'a arrêtée. Plus tard, j'ai suivi le conseil d'un pratiquant et je suis allée là-bas avec un imperméable quand il pleuvait. Je suis partie tout de suite après avoir terminé la distribution à une unité. Je suis retournée là-bas plusieurs fois, mais je n'ai jamais réussi à terminer parce qu'il y avait toujours des gens dans les couloirs. Un jour, je me suis demandé de quoi j'avais peur et j'ai demandé de l'aide au Maître. Je suis retournée là-bas et j'ai laissé les documents à chaque porte.

J'ai aussi prêté attention à me cultiver quand je distribuais les documents. Il y a quelque temps, Minghui a changé la taille de la brochure de moyen à large. Certains compagnons de cultivation voulaient toujours les modèles plus petits. J'ai eu une opinion négative d'eux et j'ai pensé qu'ils avaient l'attachement à la peur. Plus tard, j'ai vu que Minghui a aussi fourni des brochures de plus petite dimension. J'ai été émue par la considération de Minghui pour les différentes situations en Chine. Je me suis rendu compte que je ne devrais pas avoir des pensées négatives ni des préjugés.

Clarifier la vérité en personne afin de sauver les gens

Depuis 2011, un compagnon de cultivation et moi sommes sortis chaque jour pour clarifier la vérité face à face. J'étudie le Fa le matin, je récite le Zhuan Falun à midi et sors dans l'après-midi. J'ai éliminé de nombreux attachements humains tels que la jalousie, faire étalage de soi et l'attachement à l’ego.

Nous avons souvent le sentiment que le Maître est juste à côté de nous. Une fois, quand j'ai demandé à un homme s'il était membre du PCC ou de ses autres organisations, il a juste lu la brochure et n'a pas répondu. J'ai demandé de l'aide au Maître pour le sauver. Avec cette pensée, l'homme a immédiatement accepté de démissionner des organisations du PCC pour la jeunesse. Plus de 40 personnes ont décidé de démissionner du PCC en l'espace de trois heures ce jour-là. C'était étonnant ! Je me suis encore rendu compte que c'était grâce aux bénédictions du Maître.

Quand j'ai commencé à clarifier la vérité en personne les premières années, je disais toujours aux compagnons de cultivation lors de l'étude du Fa collective combien de personnes avaient démissionné du PCC, quels problèmes nous avions rencontrés et comment nous les avions résolus. Finalement, je me suis rendu compte que c'était l'attachement à faire étalage de soi et j'ai éliminé cet attachement.

Je suis devenue de plus en plus consciente que la cultivation est une affaire sérieuse. Si nous ne pouvons pas nous concentrer lors de l'étude du Fa ou l'émission de la pensée droite, nous ne faisons que faire les choses sans avoir aucune vertu majestueuse.

Parfois, j'apporte un téléphone portable qui peut passer automatiquement des enregistrements clarifiant la vérité. Après avoir compris, la personne peut démissionner du PCC en appuyant sur les touches du téléphone. Cela s'est avéré très efficace.

Regarder à l'intérieur

Mon fils pratiquait le Falun Dafa quand il était enfant, mais il s'est relâché quand il a grandi et jouait souvent aux jeux vidéo. Une fois, je me suis mise très en colère quand je l'ai vu encore jouer et j'ai même pensé que peut-être il s'éveillerait s'il rencontrait une épreuve. Je me suis rendu compte que ma pensée n'était pas droite. À ce moment-là, mon œil céleste a vu des couches de galaxies être renouvelées. Soudain j'ai compris qu’en reconnaissant mon attachement, je me débarrassais de ses mauvais effets. Les espaces correspondants s'assimilaient au Fa en même temps.

Ces dernières années, je me suis aussi rendu compte qu'aucun attachement n'existe tout seul. Ils sont tous interconnectés.

Un jour, quand nous disions les faits sur Dafa aux gens, un jeune homme a menacé de nous signaler. L'autre pratiquante est devenue nerveuse et a commencé à pédaler pour partir. Notre bicyclette est tombée, et ma tête a heurté un poteau. Je me suis dit que j'allais bien et je me suis mise debout immédiatement. J'ai dit au jeune homme : « Sais-tu que le Falun Dafa est bon ? Comment peux-tu nous signaler et aider des personnes mauvaises à persécuter les pratiquants de Falun Dafa ? » Le jeune homme a juste répondu mécaniquement : « Je veux signaler... », mais il n'a rien fait.

L'autre pratiquante est partie en vélo sans moi. Elle n'a même pas ramassé le sac contenant nos documents. Je l'ai ramassé et suis allée à sa poursuite. Je ne l'ai pas blâmée après qu’elle s’est arrêtée, et nous avons continué à aider plus de 20 personnes à démissionner du PCC.

De retour chez moi, j'ai vu que mon genou gauche était violet et mon oreille gauche me faisait mal. Je n'ai pas mentionné cela à la pratiquante, car je ne voulais pas qu'elle se sente coupable. J'ai enlevé le sentiment du ressentiment et le mépris envers elle. Cependant, j'ai senti que j'avais encore un attachement caché que je ne trouvais pas. Qu'était-ce ?

Pendant que j'étudiais le Fa lors de notre étude collective, un pratiquant a dit que j'avais manqué un mot, alors que je ne l'avais pas fait. Quand nous avons terminé, une autre pratiquante a mentionné que les deux autres pratiquants lui avaient rendu visite récemment. J'étais très vexée parce que j'ai pensé que les deux pratiquants auraient dû me rendre visite en premier. Je me suis rendu compte immédiatement que j'avais un attachement à la jalousie et j'ai immédiatement éliminé cet attachement.

Chez moi, mon fils jouait encore aux jeux. Je lui ai demandé de faire le ménage, mais il m’a crié après et a refusé de le faire. Je l'ai réprimandé d'être si vaniteux, égoïste, etc.

Pendant que je faisais une liste de ses insuffisances, il m'est venu à l'esprit ce qui s'était passé lors de l'étude collective du Fa ce jour-là. J’ai soudain réalisé que je montrais du doigt mes propres insuffisances. Je répondais et j'étais contrariée lorsque les autres pratiquants disaient quelque chose que je n'aimais pas entendre. Je me suis rendu compte que j'avais l’attachement à l’ego

Le Maître a dit :

« Puisque vous avez trouvé la raison qui l'empêche d'avancer, pourquoi ne le lui dites-vous pas ? Cela ne devrait pas être un problème si vous le lui dites avec bienveillance. Est-ce parce que vous avez peur de le vexer ? Cependant, l'attitude de l'autre n'est-elle pas justement pour que tu cultives et pratiques ? Cela ne fait rien même s'il n'a pas compris ce que tu as dit – ce qing de personne ordinaire ne devrait-il pas être abandonné ? Il faut lui dire lorsqu'on voit un problème. » (Enseignement du Fa la conférence de Fa au Canada)

J’ai réalisé que je n'aimais pas être critiquée et que j'avais l’attachement à défendre mon cœur égoïste. Maintenant, je comprends que c'était le Maître qui me demandait d'enlever mon attachement et de m'élever dans la cultivation.

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Traduit de l'anglais